Purificateur d’air pour atelier
Caisson de filtration pour système double flux
Cubage de 2340 (ID 2225) à 3400 m3/heure (ID 2530)
Haute efficacité de filtration : hyper-HEPA de 75% sur particules de 0,003 µm.
Garantie de 10 années.
S'adapte sur systèmes de ventilation existants,
Pas d'électricité. Pas de dépenses de fonctionnement.
100% silencieux.
FILTRE PARTICULIÈREMENT LA POLLUTION CHIMIQUE : GAZ ET ODEURS - ADAPTÉ COVID-19
- Tous les polluants atmosphériques
- Milieux fumeurs
- Environnement usine d'incinération
Location-vente pour les pros
FILTRE LA POLLUTION CHIMIQUE : GAZ ET ODEURS - ADAPTÉ COVID-19
- A l'identique du multigas GC mais avec une capacité de filtration plus importante.
- Les filtres à charbon sont adaptables en fonction des polluants chimiques ou gazeux
- Applications : Fortes concentrations de fumée de tabac, Laboratoires médicaux et pharmaceutiques, environnements industriels confinés…
- Supprime : toutes variétés de gaz polluants, acétones, hydrocarbures, formaldéhyde, COV, acides organiques, gaz organiques et inorganiques hydrogène sulfurée,oxyde d'azote, dioxyde de soufre et polluants particulaires...
- Filtration HYPER-HEPA : 99% sur particules de 0,3 micron et 95% sur particules de 0,003 micron. Norme EN1822-H13.
Jusqu’à 820m3/heure, mode silencieux (SLS avec module silence), fixe ou mobile Pour particules ultra-fines, les bactéries, virus, pollens, et les contaminants chimiques Filtration HYPER-HEPA . Norme EN1822-H13.
ADAPTÉ COVID-19
Polluants chimiques des ateliers
Les plus dangereuses des substances sont les substances chimiques toxiques, provoquées par une activité professionnelle ou non, telles que l’acide sulfurique, l’acide chlorhydrique, l’acétone, le sulfure d’hydrogène, l’azote et bien d’autres. C’est pourquoi ils ont tous leurs propres classifications établies et sont généralement réglementées.
Généralement toxique
Ils ont un effet affectant tout le corps comme le sulfure d’hydrogène, le monoxyde de carbone et le toluène tout comme l’arsenic, le mercure, le plomb, le cyanure de potassium
Gênant
Atteinte des voies respiratoires et des muqueuses comme le chlore, l’ammoniac, l’acétone, l’ozone et de nombreuses autres substances dangereuses utilisées dans la production.
Sensibilisant
Le formaldéhyde .Il provoque des réactions allergiques et peut avoir des effets plus graves Souvent retrouvé dans les colles, vernis et peintures.
Cancérigène
Comme la suie, le goudron et d’autres substances nocives comme les oxydants de nickel et de chrome.
Mutagène
Ces composés impactent la fonction héréditaire. Concernés :le plomb, le formaldéhyde et un certain nombre d’autres produits chimiques.
Substances qui interfèrent avec la fertilité
Benzène, mercure, plomb, manganèse et d’autres substances dangereuses.
Mais dans les ateliers comme sur les lieux de travail, on trouve également la pollution chimique provenant du bâtiment en lui-même comme les matériaux de construction et de décoration – les peintures, revêtements de sol, colles -, les équipements comme les ordinateurs, imprimantes et photocopieurs qui dégagent des COV et aldéhydes – combinés organiques volatils – mais aussi de l’ozone et des particules. Les produits d’entretien à connotation très chimique utilisés par les sociétés de nettoyage peuvent également nuire à la qualité de l’air dans les ateliers : alcools, terpènes, éthers de glycol, cétones…
A cela s’ajoutent et parfois se combinent des aérosols que sont les fumées, les brouillards d’huile dans les ateliers de transformation des métaux et les bio-contaminants, comme les moisissures, virus et bactéries.
Les polluants physiques, comme les poussières fines et ultrafines, particules et fibres peuvent, pour finir, être responsables de pathologies graves. Lorsqu’elles sont inhalées, les poussières peuvent entraîner des risques plus ou moins graves pour la santé des travailleurs exposés. Les solutions de prévention à mettre en place doivent prendre en compte la nature de ces poussières
Les poussières dans les ateliers, quelles sont-elles ?
Les poussières sur les lieux de travail sont des particules de matières solides qui en fonction de leur grosseur et des conditions de travail (courants d’air, mouvements, sciage, abrasage, découpage…) peuvent se retrouver en aérosols dans l’air ambiant, facilement inhalables par le personnel se trouvant sur place. On parle souvent de poussières fines et ultrafines y compris celles provenant de matériaux que l’on appelle les nanomatériaux.
Les poussières qui se retrouvent dans les ateliers dépourvus d’aspiration et de renouvellement d’air efficaces (45 à 65 m3/heure/occupant) peuvent provenir de métaux lors des différentes phases d’usinage des matériaux métalliques : zinc, cuivre, bronze, aciers. Les matières organiques, comme le sont les matières plastiques, le bois, la farine et le coton peuvent également être responsables de ces particules, sans oublier les poussières minérales calcaire, verre, silice, amiante.
Le danger de tous ces polluants de l’air sera fonction de la concentration mais surtout de la taille des aérosols. Plus la taille sera petite et plus les polluants pénétreront profondément dans les poumons avec possibilité d’une migration dans le sang.
Les grosses particules PM10 seront arrêtées par la barrière de défense de notre système respiratoire au niveau du nez et du larynx – fosses nasales. Les particules fines PM2,5 se retrouveront dans la trachée, les bronches puis les bronchioles du poumon (asthme). Pour finir, les plus dangereuses, les particules ultrafines PM jusqu’à 0,003 micron pourront migrer dans le sang par les alvéoles pulmonaires. En dessous de 0,5 micron les poussières se comportent comme un gaz dans l’organisme et se retrouvent dans le sang.
L’exemple le plus flagrant a été l’épaississement du sang des personnes décédées d’arrêt cardiaque lors de la canicule de 2003.
D’autres combinés peuvent se retrouver dans l’air ambiant des ateliers et lieux de travail comme des vapeurs, des gaz à teneur réglementée – benzène , toluène, xylène (BTX) et certains chlorures de vinyle, trichloroéthylène…. De nombreuses substances font l’objet d’une valeur limite réglementaire contraignante excepté le tabac qui pourtant regroupe beaucoup de polluants toxiques !
Dans les ateliers, les installations de captage et de ventilation réduisent les concentrations de ces polluants dans l’atmosphère pour qu’elles soient inférieures aux valeurs limites d’exposition professionnelle (VLEP). Toutefois la charge restante additionnée aux autres polluants non réglementés nécessiterait l’utilisation de purificateurs d’air performants pour retirer tout risque pour la préservation de la santé respiratoire du personnel.
Quels sont les risques encourus ?
Les polluants d’air agissent toujours en fonction de la dose d’exposition par rapport à une durée de temps. Plus la concentration sera forte et plus le risque existera. Plus les temps d’exposition, même à teneur basse, seront longs et plus le facteur risque sera présent.
Concernant les poussières, elles sont dites à faible toxicité (carbonate de calcium, silice amorphe, alumine, acier au carbone, polyéthylène…) ou à toxicité aigue provoquant des pathologies particulièrement invalidantes (bois, silice cristalline, farine, plomb…).
Tout cela est relatif et doit prendre en considération l’individu en tant que tel sur son état physique mais également la concentration de poussières. Ces poussières dites à faible toxicité ou sans effets spécifiques peuvent dépasser les capacités d’épuration du poumon lors d’expositions à des concentrations pendant de longues durées. Suite à ces surcharges pulmonaires, l’individu pourra déclencher des pathologies respiratoires comme des broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO) ou des fibroses pulmonaires.
Concernant les particules de poussières dites à toxicité aigue, les pathologies toucheront les voies respiratoires et parfois des organes.
Les plus nocives seront :
- les poussières de plomb provocant le saturnisme par passage du plomb dans le sang. ( ponçage des peintures au plomb)
- les poussières de silice cristalline, provoquant la silicose et certains cancers pulmonaires ;
- les poussières de bois responsables de cancers naso-sinusiens ;
- les poussières de farine fortement incriminées dans les survenues d’asthme
Comment contrôler et se protéger de la pollution de l’air ambiant dans les ateliers
Les poussières de bois ou autres, quelles qu’elles soient, sont susceptibles de provoquer des maladies à court, moyen et long terme après l’exposition au dépend de beaucoup de salariés qui y sont exposés. Pour prévenir ces risques, il faut :.
- Évaluer les risques causés par les poussières en ayant connaissance de leur nature
- Supprimer les risques causés par les poussières en évitant de les respirer
- Réduire l’exposition aux poussières à un niveau aussi bas que possible comme en effectuant un captage à la source
Il en est de même pour les composés chimiques et les bio-contaminants
Pour réduire tout risque de pollution de l’air ambiant contrôlée ou non contrôlée, il est possible d’informer le personnel et d’installer des capteurs comme le AirVisualPro de chez IQair analysant en continu et comptant le nombre de particules de 0,3 micron par litre d’air.
Cela permet d’avoir une vue objective de la qualité d’air du local à tout moment et de rassurer le personnel : analyse des particules de 0,3 micron, température, humidité et CO2…
Il est possible également de disposer de purificateurs d’air spécifiques au type de polluants concernés afin de purifier l’air ambiant et permettre de travailler dans des conditions optimales de sécurité.
Les milieux professionnels et à plus forte raison les ateliers sont des environnements de promiscuité où la pollution de l’air omniprésente agit sur le temps, qu’elle soit chimique, particulaire ou biologique.
IQair est une société suisse spécialisée depuis 60 ans dans le domaine de la purification d’air et dispose d’une gamme de purificateurs d’air performants et adaptés pour supprimer les polluants des ateliers. Il suffit simplement de nous contacter et nous nous déplaçons pour vous conseiller à une solution adaptée .