Il suffit de marcher le long des trottoirs ou de se trouver en hauteur pour apercevoir une forme de brume et de smog surtout en hiver ou en été par beau temps. Cette visibilité immédiate témoigne d’une réelle pollution de l’air extérieur. Pendant des décennies, les recherches effectuées se sont concentrées principalement sur la qualité d’air à l’extérieur sans prendre en compte la pollution à l’intérieur des véhicules qui peut être 10 fois plus importante que la pollution extérieure et naturellement devenir un problème de santé grave, pour des causes allant d’une fréquence cardiaque et d’une tension artérielle élevées à un risque accru de somnolence du conducteur.
Mais ce n’est pas tout. La recherche confirme que la pollution de la circulation joue un rôle dans le développement de l’asthme qui va au-delà du simple déclenchement des symptômes.
Plus les années passent et plus le trafic auto-routier s’intensifie. On passe de plus en plus de temps sur la route. En 2018, sur les routes de l’Union Européenne ont circulés 237 millions de voitures particulières. Aux Etats Unis, juste avant les restrictions liées à l’épidémie de Covid 19, les déplacements mensuels sur route et sur rue étaient de 253 milliards de kilomètres-véhicules, valeur en hausse 5,3 milliards de kilomètres-véhicules en une année.
Dans beaucoup de cités, villes et mégapole, la congestion automobile est revenue après la période Covid. Plus la pandémie s’atténuait, plus le trafic automobile s’aggravait.
Tout simplement par un système de ventilation ou climatisation liée aux températures extérieures. Il fait chaud et on ventile ou on climatise même quand le trafic est bouché. La même chose quand il fait froid. On met le chauffage en absorbant les émissions des véhicules environnants et on les fait circuler dans l’habitacle. De plus, étant donné que les véhicules ne sont pas étanches à l’air, les polluants atmosphériques pénètrent dans l’habitacle par les bouches d’aération et par toutes les ouvertures.
Les niveaux de polluants sont souvent plus élevés à l’intérieur parce que les voitures absorbent les émissions des véhicules environnants et les redistribuent en circulation fermée.
Les polluants sont beaucoup plus concentrés dans l’habitacle d’un véhicule que dans l’air extérieur. Les niveaux de certains polluants atmosphériques et de certains composés toxiques peuvent être jusqu’à plus de 10 fois plus élevés à l’intérieur des véhicules que le long de la route.
On retrouve un panel de polluants aux particularités très inquiétantes, ce qui pourrait alerter les personnes conduisant de longues heures dans les villes où l’air est pollué à l’image des taxis. Il existe également la pollution inhérente aux matériaux constituant le véhicule et les bons diffuseurs d’ambiance aux caractéristiques très nocives pour la santé respiratoire. Selon les résultats de 2012 du Centre écologique, plus de 275 types de polluants différents peuvent être présents dans une voiture à un moment donné.
Les gaz d’échappement des véhicules à combustion sont un cocktail de polluants particulièrement dangereux, notamment :
Dans la revue Atmospheric Environment, une étude a permis de démontrer des présences différentes de polluants atmosphériques à l’intérieur et à l’extérieur des véhicules aux intersections de la circulation, dans les zones urbaines et suburbaines. Les constatations montrent que :
Les pourcentages de polluants atmosphériques sont importants partout où la circulation est ralentie ou arrêtée, ceci avec des changements de conduite obligeant à des accélérations des conducteurs. Il en est de même pour tous les bouchons y compris ceux créés par les travaux comme à Paris où le taux de polluants émis est maximum ou pour les services de repas dans les établissements à fenêtres (commande sans sortir de voiture).
Quand une voiture est bloquée dans un trafic de circulation très dense ou lorsqu’elle est bloquée à un feu rouge, la pollution à l’intérieur des voitures bloquées est jusqu’à 40 % plus élevée que lorsque la voiture est en mouvement. C’est d’autant plus vrai lors des températures extérieures basses ou hautes qui nécessitent un chauffage, une ventilation ou une climatisation. L’air sale extérieur est aspiré par le système de ventilation de la voiture et augmente fortement le pourcentage de polluants dans l’habitacle.
Une étude de 2021 publiée dans Science of the Total Environment a démontré, dans 10 villes du monde, que l’exposition aux particules était la plus élevée lorsque les fenêtres étaient ouvertes surtout durant les heures de pointe du matin. Grosses particules en extérieur et particules fines plus importantes lorsque les ventilateurs étaient allumés.
Les polluants de l’air à l’intérieur des voitures représentent un véritable cocktail et un réel danger pour la santé, toujours suivant la dose d’exposition par rapport à la durée de temps d’exposition. La première décisions responsables à adopter est :
En conclusion, prenez conscience que nous n’avons qu’une seule santé et que la voiture avec la pollution atmosphérique représente un réel danger. Il existe des mesure pour minimiser notre exposition aux polluants de la circulation. Sur une année et pour le coût d’un café par jour (1 euro), le purificateur d’air de voiture ATEM CAR vous offrira un espace de respiration plus sûr dans votre activité quotidienne en vous évitant de subir la pollution atmosphérique urbaine.